Dans une interview accordée à Ahdath Maghribiya, Abdelhak Khayam, le patron du BCIJ (FBI marocain) a affirmé que la lutte contre le terrorisme est une responsabilité collective. Il en a pris comme exemple la présence de 180 marocaines chez Daech. Ces marocaines sont même accompagnées avec leurs bébés, ce qui accentue le risque d’une nouvelle génération de terroristes potentiels. Ainsi, le BCIJ qui déploie des efforts considérables a aussi besoin de l’aide des citoyens, comme le montre l’exemple d’un père qui aurait intérêt à signaler le comportement potentiellement subversif de son fils pour éviter sa mort certaine en cas d’attaque suicide.