Jalil Benabbés-Taarji, le président de l'ANIT, a déclaré à l'Economiste en réponse aux gros retard du Plan Azur, qu'il y'a un vrai souci de gouvernance horizontale. En effet, d'un ministère à un autre, la coordination fait défaut avec des pertes de rapidité et d'efficacité dans l'exécution des politiques publiques. Rappelons que la Cour des Comptes, a constaté que les capacités réalisées dans le cadre du Plan Azur ne sont que de 7.000 lits sur 128.500 prévus.