En réponse à certaines critiques, le nouveau président de la Chambre des représentants, a défendu sur France 24 son élection. Ainsi, Habib El Malki a rappelé qu'aucun parti au Maroc, ne dispose de la majorité absolue, ce qui oblige à trouver un consensus qui dépasse la simple logique arithmétique. Ensuite, il a rappelé la séparation entre le législatif et l'exécutif. Ainsi, le Parlement est libre dans le choix des instances qui vont servir à contrôler l'exécutif. Ce dernier ne peut se placer au dessus du législatif. Enfin, rien n'interdit au Chef du gouvernement désigné de bâtir sa majorité car le vote de confiance est bien distinct de celui de l'élection du président de la Chambre des représentants.